Author name: ffathimahamo

Aéroports intelligents.

Absolument, les aéroports intelligents sont conçus pour tirer parti des technologiesmodernes afin d’améliorer divers aspects de leur fonctionnement. Voici quelques exemplesconcrets de technologies intégrées dans les aéroports intelligents : 1.Biométrie pour l’embarquement : L’utilisation de la biométrie, telle que la reconnaissance faciale, permet un processus d’embarquement plus rapide et sécurisé. Les passagers peuvent être identifiés sans avoir besoin de montrer des documents physiques. 2..Gestion automatisée des bagages : Des systèmes automatisés de tri et de suivi des bagages permettent de réduire les risques de perte et d’améliorer l’efficacité du traitement des bagages. 3.Internet des Objets (IoT) : Des capteurs IoT sont utilisés pour surveiller et optimiser divers aspects des opérations aéroportuaires, tels que la gestion des ressources, la maintenance préventive des équipements et la surveillance des conditions météorologiques. .4.Analyse de données : Les aéroports utilisent l’analyse de données pour optimiser les flux de passagers, prévoir les pics d’affluence, améliorer la gestion du trafic aérien et personnaliser les services en fonction des besoins des voyageurs. 5.Systèmes d’information en temps réel : Les écrans d’information et les applications mobiles fournissent des mises à jour en temps réel sur les horaires de vol, les portes d’embarquement, les changements de statut, et d’autres. 6..Sécurité renforcée : Les aéroports intelligents intègrent des systèmes de sécurité avancés, tels que la surveillance vidéo intelligente, la détection d’objets suspects et la vérification automatisée des antécédents des passagers. L’objectif global de ces technologies est d’optimiser l’expérience des passagers en rendant les processus plus fluides, rapides et personnalisés, tout en améliorant la sécurité et l’efficacité opérationnelle des aéroports Les aéroports intelligents, grâce à leur adoption de technologies avancées, ont des applications étendues qui influent de manière significative sur l’efficacité, la sécurité et l’expérience des passagers. Les applications comprennent l’utilisation de bornes en libre service pour l’enregistrement et l’émission des cartes d’embarquement, la biométrie pour des processus d’embarquement plus rapides et sécurisés, ainsi que la gestion automatisée des bagages pour minimiser les risques de pertes. L’intégration de l’Internet des Objets (IoT) permet la surveillance en temps réel des opérations aéroportuaires, l’optimisation des ressources et la maintenance proactive des équipements. L’analyse de données joue un rôle essentiel en permettant aux aéroports d’anticiper les pics d’affluence, de personnaliser les services pour les passagers et d’améliorer la planification du trafic aérien. Ces avancées technologiques réduisent considérablement les files d’attente, offrant ainsi une expérience plus fluide aux voyageurs. De plus, les systèmes d’information en temps réel, disponibles sur des écrans et des applications mobiles, fournissent des mises à jour instantanées sur les vols, les portes d’embarquement et les changements de statut, améliorant ainsi la communication avec les passagers. Sur le plan de la sécurité, les aéroports intelligents intègrent des systèmes sophistiqués de surveillance vidéo, de détection d’objets suspects et de vérification automatisée des antécédents des passagers, renforçant ainsi les mesures de protection. Ces avancées technologiques contribuent à la création d’environnements aéroportuaires plus connectés et efficaces, offrant aux voyageurs une expérience globale plus agréable, sécurisée et personnalisée. En somme, les aéroports intelligents redéfinissent la norme de l’aviation en transformant fondamentalement la manière dont les passagers interagissent avec les installations aéroportuaires et en optimisant les opérations pour une efficacité accrue.

Conséquences technologiques.

La technologie aéronautique a engendré d’importantes conséquences à l’échelle mondiale, touchant divers aspects de la société, économiques, sociales et environnementales, auxquels il faut ajouter la gouvernance. Sur le plan environnemental, les émissions de gaz à effet de serre et le bruit associés à l’aviation ont suscité des préoccupations croissantes. Bien que des efforts soient déployés pour atténuer ces impacts, ils persistent en raison de la croissance continue du secteur. Le développements technologiques, tels que les biocarburants et les avions plus économes en carburant, visent à réduire l’empreinte écologique de l’avion.(reporterre.net) « L’impact climatique de l’aviation est dû aux effets CO2, dus à la consommation de kérosène, et des effets dus aux trainées de condensation qui, quand elles persistent et s’étendent, ont un effet réchauffant sur le climat. »(France Inter Les aventuriers Florian Simatos). Sur le plan économique, elle a stimulé la croissance de l’industrie aéronautique, créant des emplois et générant d’énormes revenus. Cependant, cela a également entraîne une concurrence féroce entre les acteurs du marché.. « Une nation investit massivement dans la recherche aérospatiale, stimulant l’innovation et créant des opportunités économiques, mais elle doit également faire face aux défis liés à la compétition internationale et à la dépendance aux ressources. »(Cairn Info) Sur le plan humaines la conséquence la plus marquante du crash de l’avion du 20 novembre 1972 impliquait l’équipe de rugby de Montevideo qui s’est écrassée dans les Andes. Après 72jours d’isolement, les survivants ont été contraints de recourir au cannibalisme pour survire. Face àl’absence de secours, le groupe a pris la difficile décision de consommer la chair des camarades décédés. Cet acte extrême était motivé par l’absence de ressources alimentaires dans les conditions difficiles des Andes. « Au cœur des Andes, la nuit s’installe, enveloppant le groupe de survivants dans l’obscurité glaciale. Soudain, des murmures sinistres résonnent dans le neige. Ils lèvent les yeux pour découvrir des empreintes mystérieuses qui les entourent, des formes indistinctes se rapprochant lentement. La tension mont, et dans l’obscurité, l’angoisse se mêle à l’honneur quand ils réalisent qu’ils ne sont pas seuls, que quelque chose d’inexpliqué les observe dans l’immensité silencieuse des montagnes. »(BCC NEWS)

Futur de la technologie aérienne.

***Rôle de l’intelligence artificielle : L’intelligence artificielle (IA) est déjà devenue le principal moteur des technologies émergentes, du big data à la robotique en passant par l’Internet des objets. Sur la base de centaines d’expériences et de résultats, l’IA peut répondre aux exigences des utilisateurs du moment et peut être intégrée dans de nombreux aspects techniques rapidement et efficacement, sur la base de principes d’apprentissage et de techniques de traitement du langage naturel (NLP) comme indiqué par le site technique « the verge » c’est le cas des technologies aéronautiques qui comptera sérieusement sur l’IA à l’avenir, selon les experts. * Des avions autonomes : Les avions autonomes pourraient également révolutionner les opérations aériennes en optimisant les trajectoires de vol, en réduisant les temps de transit et en minimisant la consommation de carburant. L’IA permet une gestion plus précise du trafic aérien, facilitant des itinéraires plus directs et des atterrissages synchronisés. Ces améliorations pourraient non seulement rendre les voyages plus rapides, mais aussi réduire l’empreinte carbone de l’aviation. le projet Dragonfly: Airbus travaille avec son projet DragonFly qui rentre aujourd’hui dans les trois derniers mois de sa phase de test. Comme son nom l’indique en anglais, « DragonFly » est un projet en partie inspiré de la libellule et de sa vision à 360°. Et a pour but de devenir une nouvelle brique majeure de la sécurité aérienne en venant renforcer le travail des pilotes. Un système qui pourrait, dans un futur proche, rerouter et faire atterrir un avion dont les deux pilotes auraient perdu connaissance. L’aéronef de référence de ce projet, porté par l’incubateur interne Airbus UpNext, est un A350-1000. Un avion modifié notamment au niveau des capteurs afin de « voir » son environnement. Cette vision est capitale, car c’est là qu’intervient l’élément de biomimétisme que revendique Airbus : la capacité pour l’avion à reconnaître son environnement, tant du point de vue visuel, que des conditions météo externes ou de la nature des terrains qui l’entourent (zones militaires, aéroports, etc.). Chargé en capteurs, que ce soit d’imagerie, de météo ou radio, l’avion est aussi appuyé par des systèmes de cartographie et… des algorithmes issus de l’IA. Dont on reconnaît bien la segmentation sémantique des éléments sur une vidéo de présentation (image extraite ci-dessus). Si Airbus n’utilise à aucun moment le mot « IA » dans son communiqué, c’est sans doute autant pour des raisons techniques – la vraie intelligence artificielle n’existe pas encore – que pour éviter les confusions et parallèles avec d’autres domaines. Comme l’auto ou les «IA», notamment de Tesla, ont créé une mauvaise publicité dans le monde des transports. Si les régulations automobiles sont strictes, celles de l’aviation sont draconiennes . *contrôle du trafic aérien: Le contrôle du trafic aérien (ATC) sera bientôt en plein bouleversement grâce à l’intelligence artificielle (IA), une avancée technologique qui transformera considérablement la gestion de l’espace aérien par les contrôleurs aériens. L’IA offrira aux contrôleurs la capacité de traiter rapidement et précisément des volumes de données de plus en plus importants, permettant une gestion améliorée face à la complexité croissante du trafic aérien. L’intégration de l’IA dans l’ATC facilitera une identification plus efficace des conflits potentiels et permettra la prise de mesures appropriées. Ces systèmes basés sur l’IA pourront anticiper les modèles de trafic aérien, suggérer des itinéraires alternatifs, et contribuer à l’optimisation du flux des avions. Un avantage majeur résidera dans la réduction des erreurs humaines, les systèmes IA détectant les erreurs potentielles avant qu’elles ne surviennent et fournissant des mises à jour en temps réel sur les positions des avions, améliorant ainsi la gestion globale du trafic aérien. L’IA contribuera à alléger la charge de travail des contrôleurs aériens en automatisant des tâches routinières liées à l’ATC. Ces systèmes alimentés par l’IA fourniront aux contrôleurs des données et des informations en temps réel, les affranchissant pour qu’ils puissent se concentrer sur des tâches plus complexes. Ainsi, l’intégration de l’IA dans le domaine de l’ATC marquera une révolution, offrant aux contrôleurs aériens des outils avancés pour faire face à la complexité croissante du trafic aérien. *Interfaces cerveau-machine pour les pilotes: Une interface cerveau-machine (ICM) désigne un système de liaison directe entre un cerveau et un ordinateur, permettant à un individu d’effectuer des tâches sans passer par l’action des nerfs périphériques et des muscles. Ce type de dispositif permet de contrôler par la pensée un ordinateur, une prothèse ou tout autre système automatisé, sans solliciter ses bras, mains ou jambes. Le concept remonte à 1973 et les premiers essais chez l’homme datent du milieu des années 90.(source:inserm.fr) Les interfaces cerveau-machine représentent une avancée révolutionnaire dans l’aviation, offrant aux pilotes la possibilité de contrôler les avions par la simple puissance de la pensée. Cette technologie promet d’améliorer considérablement la réactivité et la précision des commandes, créant une symbiose intuitive entre le pilote et l’aéronef. En permettant aux pilotes de communiquer directement avec l’avion à travers leurs pensées, cette interface réduit la dépendance des commandes manuelles traditionnelles. En conséquence, elle offre non seulement une réponse instantanée aux intentions du pilote, mais également une réduction significative de la charge de travail associée aux commandes physiques. Cette évolution vers une commande mentale pourrait potentiellement révolutionner la sécurité aérienne en minimisant les erreurs humaines liées à la fatigue ou au stress. En outre, elle ouvre la voie à une nouvelle ère de contrôle précis et réactif, offrant des avantages notables en termes de manœuvrabilité et de performance des aéronefs. Cette technologie émergente, en plus de contribuer à une expérience de vol plus fluide, souligne le potentiel de l’IA à transformer fondamentalement la relation entre l’homme et la machine dans le contexte aéronautique. Cependant, son adoption nécessitera une attention particulière aux aspects de sécurité, de formation et d’éthique pour garantir une intégration réussie dans l’aviation moderne. *Le Sky Cruise, un immense «hôtel volant» du futur imaginé pour ne jamais atterrir Bien que les croisières en paquebot soient une expérience bien connue, l’artiste conceptuel visionnaire Tony Holmsten a repensé le concept en imaginant un hôtel aérien à bord d’un avion

Historique de l’aéronautique.

La technologie aéronautique a évolué de manière incrémental, c’est à dire par ajout progressive et répétitifs par l’homme au fil des siècles. Ainsi à vouloir imiter les oiseaux l’homme à du faire face à des défis, des études mais aussi des drames afin de pousser ses connaissances jusqu’à ses limites. Débuts de l’aviation: Le premier homme à vouloir imiter les oiseaux fut abbas ibn farnas un scientifique arabe vivant en Andalousie qui fabriqua un prototype d’un planeur fait de bois ainsi que des plumes tirés de divers oiseaux. Une fois le planeur monté il se jeta le haut d’une petite falaise avec son prototype sur son dos, il a fait l’exploit de planer pendant quelques secondes avant de retomber au sol, avec quelques blessures mais il fut le premier homme a volé.   « Beaucoup sont surpris en apprenant que cet homme fut la première personne capable de voler avec un engin plus lourd que l’air, en se maintenant dans les airs près d’une dizaine de secondes. »A.RodrigueLaiz,2018 L’aviation mécanique: S’en suit divers savant comme Léonard de Vinci qui a imaginé et dessiné le plus ancien prototype d’hélice aérienne dans son plan d’étude vis aérienne. «La vis aérienne ou l’hélice volante est un plan d’étude visionnaire expérimental d’aéronef à hélice à vol vertical, inventée par l’inventeur italien Léonard de Vinci, reconnu comme un des plus anciens prototypes d’études et d’inspiration d’hélice»(Wikipédia, 2022) Le premier vol humain a vu le jour le 21 novembre 1783,grâce aux frère Joseph-Michel et Jacques-Etienne Montgolfier qui ont créé la montgolfière à partir d’une nacelle accrochée a un ballon fait de polyester alimenté par un brûleur qui permet ,par le principe de la poussée d’Archimède, de varier la densité de l’air chaud dans l’enveloppe et ainsi permettre l’ascension de la montgolfière. Et depuis la conquête de l’air par l’homme était lancée. S’en suivent deux autres frères qui ont marqué l’histoire de l’aéronautique, les frères Wright, qui furent les premier a équipé un avion d’un moteur à hélice le 17 décembre 1903 après avoir fait plus 700 vols expérimentaux afin de pouvoir faire voler leurs engins pilotés par eux mêmes durant 59 secondes. «Après la mise au point en vol de leur planeur entre 1900 et 1903, lesfrères Wright ont expérimenté leur premier avion, le Flyer.» Sans oublier le dirigeable créé par Henri Giffard en 1852 qui est le parfait hybride entre la montgolfière et du flyer puisque ce dernier,le dirigeable est équipé d’un grand ballon propulsé par une petite hélice qui lui permettait de parcourir des distances importantes pour l’époque soit environ 30 kilomètres. «En 1852, un ingénieur français, Henri Giffard, conçoit et fait voler le premier ballon « dirigeable », équipé d’un moteur et d’un hélice, qui rallie Paris à Saint Quentin en Yvelines.»(Dirisolar) Ainsi s’en découle une succession de moteur aéronautique que ca soit d’hélice comme celle portée sur les avion de la seconde guerre mondiale ou encore plus moderne des moteur à turbine comme ceux portés par les avions de ligne tels que nous les connaissant et qui fraient leurs chemins chaque au dessus de nous.

Scroll to Top