Auteur/autrice : clarmeunier

SYMBOLIQUE

Quelle est l’origine de la flamme Olympique ? Et que représente-t-elle ? « Dans l’Antiquité, les Grecs considéraient le feu comme un élément d’origine divine et avaient pour habitude de faire brûler un feu en permanence devant les principaux temples. C’était le cas dans le sanctuaire d’Olympie où se déroulaient les Jeux Olympiques de l’Antiquité. Aujourd’hui, la pureté de la Flamme Olympique des Jeux de l’ère moderne est préservée. Comme dans le passé, la Flamme nait des rayons du soleil devant les vestiges du temple d’Héra à Olympie. Elle représente toujours cet idéal de paix et d’unité entre les peuples. Elle annonce l’arrivée des Jeux à venir. » Source : Paris2024

MTU & MOI : Clarisse MEUNIER

Je m’appelle Clarisse MEUNIER, je suis actuellement en première année de licence Physique-Chimie.Notre article traite des incendies, notamment les feux de forêts. Pour ma part, ce sujet m’intéresse particulièrement pour plusieurs raisons.Tout d’abord, d’un point de vue personnel, je suis fascinée par les flammes. Je les trouve impressionnantes par conséquent j’avais envie de m’informer à leur sujet.Ensuite, je trouve qu’il est très important de faire de la prévention, en exposant les conséquences destructrices des feux sur la faune, la flore et donc l’environnement.Enfin, il est essentiel d’exposer les gestes à avoir ou non pour lutter contre les incendies d’origine anthropique.Pour conclure, ce sujet m’intéresse, d’une part, car je trouve les flammes spectaculaires.D’autre part, pour empêcher un maximum de feux afin de préserver les forêts et labiodiversité de cette dernière.

Analyse Wikipédia n°2

Article Wikipédia : “Camion-citerne feux de forêts” https://fr.wikipedia.org/wiki/Camion-citerne_feux_de_for%C3%AAts Tout d’abord, au début de l’article nous voyons que Wikipédia qualifie celui-ci “d’ébauche” ce qui signifie que l’article est imparfait, voire même un brouillon pas encore achevé. De plus, pour trouver si c’est un bon article, même si avec le commentaire de Wikipédia cela ne semble pas être le cas, regardons sabibliographie. Nous observons qu’il y a une seule référence provenant du site officiel du Ministère de l’Intérieur. Malgré la fiabilité de cette source, une seule référence n’est vraiment pas suffisante lors de la rédaction d’un article, surtout que ce dernier comporte plus de 700 mots.De plus, il existe qu’en deux langues (français et anglais), ce qui est très peu et montre bien que cet article n’est pas apprécié. Si nous regardons l’historique, nous remarquons un grand nombre de changements. Cependant, ils ont visiblement l’air d’être mineurs, comme la correction de faute d’orthographe.D’un point de vue du lecteur, il faut vérifier avec une grande attention la fiabilité de chaque information car on ne sait pas d’où elle provient donc c’est une grande perte de temps. Personnellement je trouve que cet article est brouillon dans sa structure.Par contre, en le lisant je trouve que l’auteur est neutre dans ses propos. Pour conclure, cet article n’est pas fiable car il manque de sources et de recherches approfondies. Néanmoins il est neutre, sans prise de position clairement exprimée. Mais cela n’est pas suffisant pour conseiller cet article, pour ma part ce n’est pas un bon article car il diffuse des informations sans citer les sources et donc la possibilité de vérifier leur fiabilité ou même le plagiat que l’auteur aurait pu faire.

Analyse Wikipédia n°1

Article Wikipédia : “Feu de forêt de 2023 en Grèce” https://fr.wikipedia.org/wiki/Feux_de_for%C3%AAt_de_2023_en_Gr%C3%A8ce Tout d’abord, pour trouver si c’est un bon article, regardons sa bibliographie. Nous observons qu’il y a trente cinq références provenant notamment de journaux fiables tel que : Le Monde, Libération et le Figaro et aussi d’une radio : France info. La quantité et la qualité de la provenance des sources me permet de penser que cet article est crédible.De plus, il est traduit en douze langues, ce qui est bien. Si nous regardons l’historique, nous remarquons quelques changements visiblement mineurs, comme la correction de faute d’orthographe. D’un point de vue du lecteur, l’article est bien structuré, d’abord les incendies de juillet puis août et enfin les diverses conséquences de ces derniers. Un autre point positif est remarquable, celui de noter à côté de chaque information d’où elle provient avec un petit numéro. Cela permet d’analyser rapidement la source decelle-ci et s’en assurer la neutralité et la fiabilité. Lorsque nous voyons dans le sommaire “Patrouilles d’extrême droite anti-migrants”,nous nous demandons s’ il n’y aurait pas une prise de partie et donc une perte de neutralité, pourtant essentielle lors de la rédaction d’un article. Mais non, après lecture de cette partie, je n’ai rien remarqué pouvant laisser croire que l’auteur prenait partie. Pour moi, il relate simplement les faits. Pour conclure, cet article est fiable et neutre. De plus, de nombreuses sources et la traduction de ce dernier dans plusieurs langues laisse penser que c’est un bon article. Une qualité pour moi et peut-être un défaut pour d’autres serait sa taille. En effet, il n’est pas très long donc il manque peut-être des informations mais je trouve qu’il y a l’essentiel et que cela nous permet de ne pas s’y perdre.

Feu de forêt : Gestion après incendie et Prévention

Source Radio France, Photo prise après le passage des flames dans une foret du massif des Mayons dans le Var, le 20 août 2021. Une question majeure survient après un feu de forêt : faut-il replanter ou laisser faire la nature ? Ce sont principalement les experts de l’Office national des forêts (ONF) et de l’Institut national de la recherche agronomique (INRAE) qui prennent la décision. En général, la régénération naturelle est le premier choix des scientifiques et des forestiers.Mais alors comment la flore puis la faune se régénèrent-t-elles ? C’est un phénomène très long qui prend plusieurs dizaines d’années. De plus, le temps de régénération varie en fonction du climat et des espèces concernés. Tout d’abord, après l’incendie, l’odeur de la fumée va attirer certains insectes (comme les mouches et les coléoptères). Les arbres affaiblis deviennent alors leur nourriture et leur lieu de ponte ce qui va rapidement attirer des prédateurs (comme les oiseaux). Ensuite, lors de la première année, les graminées et les mousses refont leur apparition. Deux ans après l’incendie, on retrouve de nouveaux buissons ainsi que plusieurs animaux comme des chevreuils, des lièvres ou des sangliers. Après trois à cinq ans, les traces du feu sont moins visibles. En effet, on retrouve diverses herbeset plusieurs arbustes recouvrant le sol.Enfin, les oiseaux reviennent après une quarantaine d’années ! De plus, pour la plupart des arbres il faut attendre 70 à 100 ans pour qu’ils atteignent à nouveau 10 à 20 mètres.Lorsque la régénération naturelle n’est pas possible, des aides sont mises en place, par exemple, des plantations mixtes qui permettent de choisir des espèces qui seront plus résistantes mais aussi de privilégier les plantations composées de différentes essences. De plus, pour venir en aide à la faune une limite voir une interdiction de chasse est appliquée.Il est alors primordial de protéger nos forêts avec toutes les espèces végétales et animales qu’elles abritent. En effet, soulignons que les effets néfastes des incendies sont nombreux : les dégâts matériels et humains mais aussi leur participation au réchauffement climatique et la dégradation de la biodiversité. Comme nous le savons, plusieurs causes peuvent être à l’origine d’un incendie. Parmi ces dernières nous retrouvons les causes naturelles (par exemple : la foudre, une éruption volcanique), mais aussi les causes humaines (volontaire ou accidentelle).Ces dernières représentent 90% des départs de feu de forêt, ce qui est énorme ! Il est donc primordial de faire de la prévention et sensibiliser les citoyens. Pour cela, diverses méthodes sont utilisées :D’une part, la défense de la forêt contre l’incendie passe par des outils d’aménagement et d’entretien des massifs issus du code forestier (Plan de Protection de la Forêt Contre l’incendie). En effet, le code forestier prévoit notamment l’obligation légale de débroussaillement. D’autre part, la loi du 2 février 1995 permet notamment la délimitation des zones d’expositions aux risques à l’intérieur desquelles les constructions sont interdites. La prévention notamment à travers la maîtrise de l’urbanisation, plusieurs documents (par exemple cartographique) permettent de connaître les risques selon les territoires et par conséquent la réduction de l’exposition des personnes et des biens. Cela permet de limiter les dommages causés lors d’un incendie.Pour conclure la politique de défense de la forêt contre les incendies (DFCI) du ministère de l’Agriculture et l’Alimentation repose sur 4 grands axes : Chart